Don't you just love those flicks where you're constantly going "It's gonna unfold this way... No, no, no, that way... They can't do that, can they?!?!?", and so on? I do. I really really do. This is what movies are all about for me, actually.
Une preuve par quatre que l'identification s'est enclenchée, en quelque sorte... Que l'histoire accroche... Démonstration effective du fameux modèle perception-cognition-révision-(re)perception-(re)cognition-révision, en fait (cf. David Bordwell... Grosso modo, ce modèle soutient que le spectateur d'un film participe d'une actvité perceptivo-cognitive somme toute très similaire à la résolution d'une égnigme, d'une charade, d'un problème, d'un jeu, etc.. La spectature devient donc participative... Pierre d'achoppement de mon rapport au cinéma, cette hypothèse théorique m'a souvent confronté à l'entendement général stipulant que le visionnement d'un film reste une activité passive... Ignorance is bliss, I guess, lol. (Meaning, people simply do not realize they are very very active, both psychologically AND physically (emotions ARE physical) while watching a movie; they just do whatever's necessary unconsciously, especially when "plot-committed", ie "in the movie"... Thing is, we've really been born and bred with audio-visual manifestations all around us 24/7, granting us "innate movie reflexes", so to speak).
Bon, je me suis égaré. Suffira de dire que Slumdog Millionaire, le dernier Danny Boyle (he of Trainspotting fame ;-)), tombe joyeusement dans cette catégorie de films, probablement par son éclectisme bollywood. Divertissant, engageant, bien ficellé, écrit et exécuté... Et des accents plutôt sympathiques, comme celui de l'animateur-vedette, dont la prononciation du mot "millionaire" en anglais m'a vraiment bien fait rire...
Cote mediafilmesque : ~3.2.
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